C’est qu’elle a de la gueule la chanson engagée quand elle est portée par une jeune scène de la trempe de Gauvain Sers !
En héritier direct et revendiqué de Renaud, ce creusois d’origine, qui s’affuble volontiers de la gavroche parigote, dégaine des rengaines qui nous renvoient à la case départ du renard, version Amoureux de Paname. La voix est haut perchée, à peine juste parfois, mais ça fait mouche parce que le garçon, né en 1989, chante avec le cœur et les tripes pour dire ses amours, sa nostalgie, ses tendresses ou ses colères comme ici, dans C’est combien pour ton flingue qui se pose en suite, ou en réponse, au célèbre Où c’est qu’j’ai mis mon flingue de Renaud. Datant de… 1980.
Il pousse, il pousse le vent de la relève…
[…] Baudets, je l’avais pris il y a un moment s’il t’en souvient. J’avais dit, dans ces colonnes, rapidement, tout le bien que ce creusois m’inspirait et m’étais promis de […]
[…] c’est Volo qui ouvre le bal de la semaine, avec des premières parties de premier choix (Gauvain Sers, le 7, et Missonne, le 14, par […]
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