Il y avait une fille qui s’appelait Maud-Élisa et qui déclara : les princesses perdent des « oeils », parfois; je deviendrai la Prince des Chats et ainsi naquit le Prince Miiaou (enfin peut-être). La reine Elisa ne miaulait pas toujours en langue de Verlaine mais faisait des « œils » doux à celle de Shakespeare, surtout. Elle clama ses vicissitudes et affûta ses miauleries, les clama encore et encore. Entre électro, pop, rock et expérimentations de tout bois, le royaume du chat se mira à l’envers et se révéla. Je reviens toujours à cette chanson, régulièrement, crame en came. « J’ai deux yeux mais sur les deux y’en a qu’un qui m’appartient ». Voilà à peu près le genre de phrase qu’on aimerait avoir écrit de ses deux doigts : Go !
[…] ne m’étaient pas étrangers ces problèmes d’organes et d’hémisphères… J’ai deux yeux, ma p’tite chanson de cœur, la seule en français (enfin, je croyais), tous les autres […]